Bandeau Xylak
Bandeau LOCUS SOLUTUS
Bandeau arc-en-ciel
    Brimborions
     xylakaviens
fbNauvatag
xyljack.net


Oyiwen ed tanemert_______Page mise à jour le 9 mars 2018 vers 22h00 TUC    

Captatio benevolentiae  lexicale

Le termes de carte  et surtout d'atlas  pourront paraître passablement prétentieux, et à juste titre. Il y avait au départ des plans, rassemblés dans une page des plans.

Mais deux éléments ont obligé à abandonner ces dénominations :

  1. ainsi qu'il est rappelé par ailleurs, Zola a appelé Plan complet  l'ensemble des documents préparatoires à la rédaction de son roman ; comme il est fait référence à ces documents en plusieurs endroits de ces pages (notamment dans celle-ci  [⇒] qui leur est consacrée), le risque de confusion était grand ;
  2. pour page des plans  (ou des cartes ), c'est un problème d'encombrement ; les menus déroulants demandent des libellés courts (c'est la même nécessité qui a fait employer dans le menu Zola  au lieu de Quelques travaux sur L'Assommoir, qui aurait été nettement plus pertinent).

Cartes des lieux évoqués dans L'Assommoir


Présentation

Cette page regroupe toutes les cartes de cette section se rapportant à L'Assommoir. On peut distinguer :
q  deux cartes de l'ensemble des voies du quartier, l'une en 1850, l'autre en 1870 ; elles s'affichent quand on clique dans la marge à droite du texte ;
w  les cartes contextuelles (qui s'affichent quand on place le curseur de la souris sur un nom de lieu) ; celles-ci se répartissent à leur tour en deux groupes :
(a)  un fond de carte générique (de la rue Polonceau [au nord] aux abattoirs [au sud-ouest] et à l'hôpital Lariboisière [au sud-est]) avec les noms (lieux et voies) figurant dans le chapitre ou la partie de chapitre ;
(b)  d'autres sont plus spécifiques, par exemple les lieux de Paris en dehors du quartier ou le trajet suivi par la noce.
NB- les deux cartes du groupe q (et notamment celle de 1850) comportent les noms et le tracé historiques  des voies ; les autres cartes suivent le texte et les notes de l'auteur.
(c)  à cela s'ajoute une carte animée des déplacements de Gervaise mentionnés dans le chapitre XII.
e  On peut trouver à la fin de cette page une annexe exposant quelques-uns des problèmes provenant du rapport entre le texte (ou les notes) d'Émile Zola et la réalité  du terrain.


Sommaire



Le quartier de la Goutte-d'Or en 1850 [et 1870]
      Placer le curseur de la souris sur l'image pour afficher la carte de 1870.

Quartier en 1850Quartier en 1870

 
Le quartier de la Goutte-d'Or en 1870

Quartier en 1870
 
Cartes par chapitre

Chapitre Ier____carte a ____________carte b
Chapitre I a Chapitre I b
Chapitre II Chapitre III____carte a
Chapitre II Chapitre III a
Chapitre III____carte b Chapitre IV
Chapitre III b Chapitre IV
Chapitre V____carte a __________carte b
Chapitre V a Chapitre V b
Chapitre VI____carte a __________carte b
Chapitre VI a Chapitre VI b
Chapitre VII____carte a __________carte b
Chapitre VII a Chapitre VII b
Chapitre VIII____carte récapitualtive
Chapitre VIII dChapitre VIII e
NB- En italiques, les noms des établissements qui n'ont pas pu être situés avec précision.
Placer le curseur de la souris sur l'image pour afficher le tracé et le nom des voies principales
Chapitre IX____carte a ____________carte b
Chapitre IX a Chapitre IX b
Chapitre X
Chapitre X a
Chapitre XI____Placer le curseur sur la carte pour afficher toute l'image sur un seul écran
Chapitre XIChapitre XI
Chapitre XII____carte a ____________carte b
Chapitre XII a Chapitre XII b
 
Trajet du samedi
NB- si l'animation ne démarre pas, cliquer sur ce lien  [⇒] pour l'afficher dans une fenêtre dédiée.
 
Chapitre XIII
Chapitre XIII

La grande maison
Rez-de-chaussée6ème étage
Grande maison - r-d-cBoutique de GervaiseLa grande maison - 6èmeLa grande maison - 6ème - derniers mois
Placer le curseur sur l'image pour afficher
      un agrandissement de la boutique de Gervaise
Placer le curseur sur l'image pour afficher
      la situation à la fin de la vie de Gervaise

Autres lieux de Paris et des environs
      Placer le curseur de la souris sur l'image pour afficher la légende.

ParisLégende
Légende
 
Le trajet de la noce

La noce
 
En dehors de Paris

France

Au-delà des frontières
Placer le curseur de la souris sur la carte pour afficher un planisphèreAncien mondeNouveau monde

Annexe : quelques points litigieux.

Sommaireq  Réalité et imaginairew  Le trajet, le matin du mariage
e  Le boulevard de Rochechouartr  La Villa Poissonnièret  L'intérieur de la grande maison
y  La rue des Poissonniersu  Errances du samedi désespéréi  Le Mont-de-Piété

Tout comme la chronologie (et en partie pour les mêmes raisons), la topographie de L'Assommoir  amène parfois à se poser quelques questions.


q   Les premières proviennent de la rencontre entre
  • un cadre réel et précis – dans le temps (de 1850 à 1870) comme dans l'espace (le quartier de la Goutte-d'Or),
  • l'Histoire : durant cette période, Paris double sa superficie avec l'annexion des communes périphériques en 1860, et Hausmann modifie profondément certains aspects de la ville - deux bouleversements qui n'épargnent pas le quartier de la Goutte-d'Or, puisqu'il fait partie de ces territoires annexés et qu'on y voit percer les boulevards de Magenta puis Ornano ;
  • les méthodes de travail de Zola : vers 1875, pour préparer l'écriture de L'Assommoir, il rassemble une documentation et visite à plusieurs reprises le quartier ; mais il voit alors les lieux de la fin du roman, pas ceux du début ; cela peut expliquer quelques anachronismes des premiers chapitres, notamment dans la dénomination des voies. Par exemple, dans tout le roman, il est question de la rue Polonceau ; or jusqu'en 1864, elle s'appelait rue des Couronnes (on trouvera donc ce dernier nom dans la carte de 1850 mais rue Polonceau  dans les cartes contextuelles). Pour le boulevard de Rochechouart, voir ci-dessous le paragraphe e.

w   Peut-être en partie lié au précédent, le trajet le matin du mariage. Gervaise et Coupeau (accompagnés de leurs quatre témoins et de maman Coupeau) vont de l'hôtel Boncœur (situé sur le boulevard de la Chapelle, près de la barrière Poissonnière) à la mairie puis à l'église, avant de se rendre au Moulin-d'Argent (situé sur le même boulevard de la Chapelle, mais près de la barrière Saint-Denis). Les croquis établis par Zola ne mentionnent ni église ni mairie, mais on peut observer qu'en 1875,

Ces données ne correspondent pas vraiment avec ce qu'on peut lire dans le roman :


e Le boulevard de Rochechouart appelle plusieurs remarques :
a) dans l'usage courant actuel, on rencontre parfois boulevard Rochechouart ; Zola, lui, indique toujours la préposition (par contre, il mentionne le boulevard Magenta, qui est logiquement boulevard de Magenta ) ;
b) dans les notes et une partie du manuscrit, Zola écrit Rochechouard ;
c) c'est donc avec cette orthographe que le boulevard figure dans les croquis des voies relevés pour la préparation du roman - croquis réalisés (comme indiqué plus haut) en 1875 ; mais l'extension de Paris en 1860 n'avait pas, ici, changé que le nom, elle avait aussi modifié les lieux : durant la première moitié du roman, le carrefour de la barrière Poissonnière  (à qui la station de métro donne aujourd'hui son nom usuel de Barbès-Rochechouart ) avait l'aspect que l'on peut observer sur cete carte____a a a

Le texte du roman restitue bien cet état (mur d'octroi, pavillons, rues des Poissonniers et du Faubourg-Poissonnière se rencontrant au carrefour), à l'exception du nom : du temps où il faisait partie du village de Montmarte, le boulevard s'appelait boulevard des Poissonniers ; ce n'est qu'une fois absorbé par Paris qu'il prendra le nom de Rochechouart.
Placer le curseur de la souris sur la carte pour afficher les noms et l'état actuels des lieux.

Plan barrière PoissonnièrePlan Barbès-Rochechouart
r   la Villa Poissonnière : sur le croquis établi par Zola, elle est située au nord-ouest de la rue Neuve______a a a
ce qui ne correspond ni à la réalité (placer le curseur de la souris sur l'image pour afficher la carte des voies réelles) ni au texte du chapitre II ; elle retrouve donc, dans toutes les cartes de cette section, sa place actuelle.
 Plan réelPlan Zola
t   l'intérieur de la grande maison : la situation géographique de la maison, rue de la Goutte-d'Or, est parfaitement univoque, tout comme son aspect extérieur, tel qu'il ressort du croquis fait par Zola aussi bien que des descriptions présentes dans le roman : quatre bâtiments disposés en carré autour d'une grande cour, sur cinq ou six étages ; la seule hésitation porte sur cette différence de hauteur ; en effet, le manuscrit et LRdL  ont Sur la rue, il n'y avait que cinq étages  (la restriction disparaît dans les éditions suivantes : Sur la rue, la maison avait cinq étages., mais le sens reste le même) ; dans tous les cas, il s'agit du bâtiment D ; or les Lorilleux (et plus tard les Coupeau) habitent sur la cour  au sixième, mais dans le bâtiment B ; on peut donc hésiter : le bâtiment D avait-il cinq étages et les autres six ? ou bien les quatre bâtiments avaient-ils six étages sur la cour et cinq sur le pourtour ? Dans cette incertitude, pour le calcul suivant, on considérera que la maison avait cinq étages et demi.

Mais c'est quand on entre dans les bâtiments (celui de l'escalier B, par exemple) que les choses se compliquent vraiment : combien de logements par étage dans chaque bâtiment ? On ne peut que supposer ce nombre, à partir de deux indications :

Soit vingt-huit logements par étage complet, multipliés par quatre bâtiments et cinq étages et demi – six cent seize logements. Rappelons qu'il s'agit là d'une configuration minimaliste, où chaque étage de chaque bâtiment comprend juste deux logements face-à-face autour d'un unique couloir.

On voit donc que, même en donnant à locataire  le sens de foyer  et non d'individu, Coupeau est bien au-dessous de la réalité quand il parle de trois cents locataires. Combien d'individus par logement ? Certes, mademoiselle Remanjou ou Bazouge vivent seuls ; mais le plus souvent, il s'agit de couples ayant des enfants : Madame Gaudron, à elle seule, en lâchait neuf […]. Une autre femme, une porteuse de pain, au cinquième, en lâchait sept. Il en sortait des tapées de toutes les chambres.  Une moyenne de trois personnes par logement semble donc un minimum, ce qui porte le nombre d'occupants à près de deux mille.

Et pourtant, difficile de concilier cette configuration simpliste des lieux avec le récit de la première visite de Gervaise aux Lorilleux, quand Coupeau, arrivé en haut de l'escalier B au sixième étage, avait pris, à gauche, un long corridor. Il tourna deux fois, la première encore à gauche, la seconde à droite. Le corridor s’allongeait toujours, se bifurquait […]

On peut évoquer un autre exemple de cette double image, propre au romanesque : dans le Cauchemar d'Innsmouth, Lovecraft place sa ville (imaginaire) tantôt au nord d'Ipswich (réel), tantôt au sud ; tantôt juste au pied de la montagne, tantôt à plusieurs kilomètres dans la plaine. Et bien sûr, ici, comment ne pas penser à ces slogans publicitaires présentant telle voiture comme petite dehors et grande dedans  ? Plus sérieusement, il faut admettre qu'un bâtiment de la grande maison est assez étroit pour être entièrement rempli par la boutique et l'arrière-boutique de Gervaise, mais assez large pour contenir plusieurs rangées de logements séparées par un dédale de couloirs.


y   rue des Poissonniers : cette voie figure dans cette annexe à deux titres.
  1. Des hauts et des bas : la question ne se pose pas pour la rue Lepic (que l'on remonte  des boulevards aux moulins) mais, dans la rue des Poissonniers, où est le haut et où est le bas ? Zola lui-même semble hésiter :
    •  au chapitre VI, Gervaise se trouve un jour dans le bas de la rue des Poissonniers, en allant rue des Portes-Blanches – entre la rue Ordener et les fortifications, donc dans la partie nord de La Chapelle ; après quoi, remontant la rue, elle voit la plaque de la rue Marcadet (située au sud de la rue Ordener) ; ainsi le bas la rue des Poissonniers est-il au nord.
    •  Mais au chapitre suivant, quand, avec Goujet et Virginie, elle cherche Coupeau dans cette même rue des Poissonniers, Zola écrit : comme ils descendaient vers le boulevard  […] au bas de la rue, ils découvrirent Coupeau et Poisson dans l'Assommoir du père Colombe.  Ici, le bas est au sud.
    •  On peut observer toutefois que, dans une note préparatoire, Zola écrivait à son propos : Elle montait, puis descendait vers les fortifications  – ce qui lui permettrait effectivement d'avoir un bas  au nord et un autre au sud.
  2. À boire… : au fil des chapitres, on rencontre cinq débits de boisson.
    •  le Papillon : c'est le seul qui figure dans les notes préparatoires consacrées aux Hôtels, Restaurants, Bals du boulevard, le seul aussi dont on trouve trace en dehors du roman ; il était situé au coin nord-est de la rue Doudeauville ; restaurant et débit de vin ;
    •  l'Assommoir : imaginé par Zola, presque au coin du boulevard de Rochechouart, sur Montmartre ; son emplacement exact est difficile à préciser parce que cette partie de la rue a été modifiée lorsqu'elle est devenue le boulevard Ornano, vers 1863 ; vente d'alcools forts ;
    •  François : également imaginaire, mais sa localisation précise est sûre, à l'angle sud de la rue de la Goutte-d'Or ; marchand de vin ;
    •  la Petite Civette : il existait au moins deux commerces de ce nom dans le centre de Paris, mais pas de trace d'un homonyme au-delà du mur des Fermiers généraux ; bien qu'il en soit question aux chapitres V, VII, VIII et XII, il est difficile de le situer : du côté de La Chapelle ou de Montmartre ? assurément au nord de chez François, mais au nord ou au sud du Papillon ? si les variations sur le haut et le bas de la rue ne permettent pas de trancher, le sud est plus probable, donc entre François  et le Papillon ; débit de tabac, aussi apprécié pour ses prunes à l'eau-de-vie ;
    •  la mère Baquet : vraisemblablement imaginaire, situé entre le Papillon  et la Petite Civette ; marchande de vin.

u   le samedi désespéré : les errances de Gervaise sont assez faciles à suivre, parce que circonscrites au périmètre le plus habituel du roman. Toutefois, quelques points précis posent problème.
  1. À la recherche de Coupeau : Gervaise est allée attendre son mari au carrefour des rues de la Charbonnière et de Chartres ; ne l'ayant pas trouvé, elle pense à la rue des Poissonniers ; et Zola écrit : elle descendit la rue de la Charbonnière. Pourtant, le chemin le plus court passe par la rue de Chartres ; la rue de la Charbonnière conduira Gervaise soit sur le boulevard de la Chapelle soit à l'entrée de la rue de Jessaint, l'éloignant de sa destination.
  2. Plus tard dans la soirée, elle passe devant l'hôtel Boncœur et s'arrête devant, songeant au passé. La scène n'a rien d'impossible, mais l'ensemble donne l'impression qu'elle n'est pas revenue sur les lieux depuis très longtemps ; or la maison se trouve sur le trajet direct entre la blanchisserie de madame Fauconnier et l'Assommoir, trajet qu'elle a bien dû faire assez souvent depuis son départ pour la rue Neuve puis la rue de la Goutte-d'Or.
  3. Autre souvenir qui lui revient au cours de ses déambulations sur le boulevard : Son lavoir, rue Neuve, l’avait nommée reine ; contrairement aux souvenirs liés à l'hôtel Boncœur, aux abattoirs ou à Lariboisière, rien, dans les premiers chapitres, ne le préfigure ; bien plus, on peut se demander quand il trouverait place : Gervaise, repasseuse de métier, n'allait d'abord au lavoir que pour laver le linge de sa famille (comme dans le chapitre Ier), et son combat avec Virginie avait dû laisser quelques traces ; ce n'est qu'après avoir abandonné sa boutique et été renvoyée par madame Fauconnier qu'elle devient laveuse professionnelle (comme l'avait été madame Bijard), mais alors, elle n'était plus guère gentille, blonde et fraîche.

i   le Mont-de-Piété : en dehors des simples allusions, il est question de cet établissement dans les chapitres I, VII et IX.
___Si l'on veut jouer le jeu du texte, il faut distinguer les deux premières occurrences de la troisième. En effet,
  1. aux chapitres I et VII, rien ne précise où se trouve l'établissement mentionné ; s'agit-il alors de la maison-mère, située (comme aujourd'hui) dans l'actuel 4ème arrondissement, soit à quelques kilomètres du quartier de la Goutte-d'Or ?
    •  impossible au chapitre Ier, parce que Gervaise fait l'aller-et-retour en une demi-heure tout en ayant dû attendre sur place (l'on trouve toujours un monde, là-dedans ! ) ;
    •  impossible au chapitre VII, parce que c'est maman Coupeau qui y va, et qu'on l'imagine mal faire ce long trajet, elle qui avait déjà dû renoncer à accompagner la noce  dans sa promenade, bien des années plus tôt ;
    ___ce ne peut donc être qu'un bureau annexe, comme il en existait plusieurs dans le Paris de l'époque ; mais lequel ?
  2. le chapitre IX est plus explicite, puisqu'il montre maman Coupeau se rendant au Mont-de-Piété de la rue Polonceau ; or on peut trouver dans ce blog  [⇒] des photos d'un tel bâtiment – où certaines ont voulu voir l'établissement évoqué par Zola ; d'autant plus que des éditions du roman (de la fin du XIXème siècle ou du début du XXème) comportent une illustration représentant « La mère Coupeau au Mont-de-Piété », et que Zola lui-même avait pris une demi-page de notes (f. 216 du dossier préparatoire ) pour décrire l'intérieur du bureau. Malheureusement,
    •  le bureau photographié est situé rue Cavé (certes pas très loin de la rue Polonceau) ;
    •  il n'a été construit que peu avant 1890 ;
    •  le croquis du quartier dressé par Zola inclut la rue Polonceau, mais l'auteur n'y a fait figurer que la boucherie du gros Charles ; aucune trace d'un bureau du Mont-de-Piété (ni là ni ailleurs dans les plans du dossier préparatoire, qui ne répertorie d'ailleurs pas la rue Polonceau dans la section Le quartier, les rues, les restaurants, les bals ) ;
    •  de toute évidence, Zola a renoncé à inclure une scène montrant Gervaise ou maman Coupeau au Mont-de-Piété ; nous voyons seulement les deux femmes y aller ou en revenir (avec une évocation des employés qui l'appelaient la mère « Quatre francs », mais sans mise en scène).
    ___On peut donc en conclure — comme le fait J.-R. B. dans la page le clou anachronique  [⇒] du blog 28 rue Affre — que Zola a tout simplement inventé l'adresse rue Polonceau ; la page indiquée fournit d'ailleurs des précisions supplémentaires et bienvenues sur le bureau annexe Y, accompagnées d'illustrations.

Plan du site & Mentions légales_._Site éclos sur Skyrock, développé avec Axiatel et mûri sur Strato.com_._© 2015-2024 - XylonAkau